La Brigade Spéciale Nationale et l’Union des Jeunes Communistes en défense du peuple cubain et de la révolution

Les différents organes de propagande capitaliste ont versé leur flot de calomnies contre les combattants de la Brigade Spéciale Nationale (BSN) du ministère de l’intérieur étant intervenus lors des provocations grossières de la contre-révolution le 11 juillet, avec des accusations de meurtre entre autres. En charge de la protection et de la paix civile, leur courage et abnégation ont maintes fois été salués comme lors des désastres climatiques. Nous traduisons ici les réponses de certains de ces combattants, ainsi que celle de la deuxième secrétaire de l’Union des Jeunes Communistes (UJC).

Yendris Colon Serrano, premier sub-officiel de la BSN :

« Le président des Etats-Unis a sanctionné le ministre des Forces Armées Révolutionnaires et la Brigade Spéciale Nationale, et je me demande quelle est l’autorité légale ou morale de ce président pour me sanctionner moi ou le ministre des forces armées. La BSN n’opprime pas, ne maltraite pas, ne frappe pas, n’incite pas à la violence et la haine, à différence de ce qui se fait dans son pays. George Floyd citoyen afro-américain a été assassiné lors d’actions brutales de la police. Fondamentalement parce qu’il était noir, vu que dans ce pays persiste la discrimination raciale. A Cuba ça n’existe pas. »

Idania Atala Noriega, chef de l’organisme politique de la BSN :

« Quelles sont les caractéristiques des hommes et femmes qui intègrent cette brigade ? Ce sont des hommes et femmes d’origine très humble, des quatre coins de Cuba, majoritairement des jeunes, qui ont un grand amour pour la vie, les êtres humains et la mission qu’ils accomplissent, mission qui consiste principalement en de la prévention. »

Anyelo Medina, sub-officiel de la BSN prononce un discours aux accents poétiques :

« Comédien de télévision ne sois pas ignorant, moi je n’ai ni criblé de balles ni gazé des gens, ne parle pas sans fondement et ne te fie pas aux rumeurs, je n’ai pas tué des manifestants comme vous vous faites avec les vôtres. Tes insultes me gênent mais mon moral est plus fort parce que mon vrai peuple combat à mes côtés. Continue avec tes sanctions et ta charlatanerie, ici il n’y a pas de lâcheté, il est connu et prouvé avec le peuple à mes côtés levant la machette et la voix, que maintenant ce ne seront plus 62 mais 10.002 années de révolution. »

Aylin Alvarez, deuxième secrétaire de l’UJC :

« Le peuple applaudissait, se sentait en sécurité, quand vous êtes arrivés il a senti que l’ordre et la tranquillité arrivaient. C’est ça le meilleur prix, la meilleure reconnaissance que peuvent recevoir la brigade spéciale et le ministère de l’intérieur en général. »

VIVE CUBA SOCIALISTE ! SOCIALISME OU BARBARIE, LA PATRIE OU LA MORT ! NOUS VAINCRONS !

http://www.granma.cu/cuba/2021-07-26/el-moncada-en-la-fuerza-de-la-revolucion-26-07-2021-23-07-43