Autour du cinéma palestinien

par | Nov 19, 2023 | Contre-culture | 0 commentaires

Le cinéma palestinien a été accouché dans une grande souffrance. D’abord, il se cherche en produisant exclusivement des documentaires – puis vient en 1948 la Nakba et la création de l’Etat d’Israël, où plus de “805 000 palestiniens [furent] expulsés de leurs terres […], 25 000 hectares confisqués en Cisjordanie, 2 850 maisons démolies, [et] 150 000 oliviers et arbres fruitiers arrachés (1). Et c’est 20 ans après ce tragique événement (George Khleifi, frère du cinéaste Michel Khleifi, les appelle “période du silence”), soit en 1968, qu’on peut entendre le cinéma palestinien pousser son premier cri de révolutionnaire, qui ne sera pas le dernier.

L’art dérange parce qu’il peut dénoncer, alors pas question pour Israël de laisser la moindre visibilité à l’art produit par le « peuple des ténèbres » (selon l’expression mortifère de Netanyahou). Dans ce contexte, le cinéma ne pouvait alors que surgir sous l’impulsion de forces révolutionnaires, et ce furent celles du mouvement Fatah qui en assumèrent le rôle. Disons que la période était propice à leur expansion : 

 « Après la tragique défaite des États arabes face à Israël en 1967 et avec elle, celle du projet nationaliste arabe de libération de la Palestine, les groupes armés palestiniens vont prendre un essor considérable. Du Mouvement des nationalistes arabes naîtra dans le courant l’année 1967, le Front populaire pour la libération de la Palestine et le Fatah verra le nombre de ses fedayins augmenter considérablement, devenant la principale force de la résistance.» (2)

 N’ayant rien d’autre à perdre que leurs chaînes, les révolutionnaires s’opposent catégoriquement à toute forme d’asceptisation de leur art. En ce sens, ils adhèrent à ce principe formulé par Castro en 1961, à l’occasion de son discours aux intellectuels : « pour la révolution, tout ; contre la révolution, rien. » La création par les cinéastes Hani Jawhirriya, Sulafa Jadallah et Mustapha Abu Ali de l’Unité cinéma du Fatah, dont « l’objectif avoué […] est de “mettre le cinéma tout entier au service de la révolution palestinienne” »(3), fait montre de l’anticipation de l’idée de David Dufresne selon laquelle « la caméra, c’est l’arme des désarmés »(4). Pour l’Unité cinéma du Fatah, la révolution se joue aussi sur le plan artistique, et gage à retrouver « cette civilisation […] progressiste, [qui] a été détruite ou du moins interrompue »(5).

 A la même époque, les artistes et les intellectuels de par le monde poursuivent le débat sur la colonisation de la Palestine entamé depuis 1948. En France, on retrouve du côté israélien Sartre, Foucault ou encore Aron, « [qui] manifestent un soutien indéfectible à Israël », sans compter Chris Marker (on l’a vu plus marxiste…), qui fait un éloge du nouvel État dans son film Description d’un combat en 1960. De l’autre côté de la barricade figurent, à partir des années 70, les intellectuels Deleuze, Badiou, Derrida, Morin, Genet ou encore Godard. Ce dernier déclare carrément dans le Manifeste du Groupe Dziga Vertov vouloir « faire de la propagande pour la cause palestinienne [pour] montrer le combat des feddayin à leurs frères arabes exploités par les patrons dans les usines de France »(6). Voeu louable qui ne se concrétise malheureusement que dans un seul film co-réalisé avec Anne-Marie Miéville et commandé par l’OLP, Ici et Ailleurs (1974).

 Par ailleurs, ce même Godard qui dit ne pas croire à la « caméra-fusil » (7) se voit ici contredit par l’histoire ; c’est l’Etat d’Israël qui avait détruit les (rares) bobines datant d’avant 1948, et c’est toujours lui qui s’employait à détruire les productions cinématographiques palestiniennes (8) ; l’utilisation des images est bel et bien politique, surtout quand elles sont « fragile » (9) et peut, parfois, conduire à des bouleversements digne d’un coup de fusil – ce qu’Israël avait très bien saisit. D’où son acharnement à éliminer toute trace de l’Unité, qui représente tout ce qu’il réprouve, et ce à tous les niveaux. Parmi les six règles principielles contenues dans le manifeste de l’Unité – rédigé par un de ses membres, Hassan Abu Ghanima -, elle affiche fièrement sa volonté de « produire des films réalisés par des Palestiniens sur la cause palestinienne et ses objectifs, des films qui s’inscrivent dans le contexte arabe et s’inspirent d’un contenu démocratique et progressiste » (10). Cette volonté doit néanmoins s’accompagner d’une « esthétique nouvelle » et d’une collaboration internationaliste entre cinéastes progressistes du monde entier. Ce qui n’est pas sans rappeler le travail du Groupe Ukamau et de Glauber Rocha dont j’avais parlé respectivement dans deux articles (11). Ils se posaient eux aussi des questions sur la réceptivité des masses, l’identité, l’idée d’une esthétique propre à leur culture, tout en les articulant à la pensée marxiste, anti-impérialiste et révolutionnaire (des questions qui continuent de s’imposer aux cinéastes palestiniens contemporains) : « il s’agissait de trouver la voie d’un cinéma du peuple pour exprimer la guerre du peuple ». De ce fait, on peut sans doute intégrer les films de l’Unité dans les Nouvelles Vagues (française, tchécoslovaque, japonaise, etc.) qui surgiront dans les décennies succédant à l’après-guerre, même si sa productivité fut moindre, pour des raisons qu’il est inutile de préciser. En ce qui concerne les formes cinématographiques, le documentaire a la cote (par ailleurs, on garde encore le goût du documentaire en Palestine). Inspiré par le cinéma soviétique (12), c’est lui qui donne le plus de vraisemblance aux images filmées par les cinéastes palestiniens.

 Mis à part l’Unité qui deviendra « Les films de la Palestine » (l’Organisme du Cinéma Palestinien), l’autre grand courant du cinéma palestinien, davantage porté sur l’esthétique, tout en restant très engagé, apparaît dans les années 80 avec les films du cinéaste Michel Khleifi, fils de communiste (13)(14). Un autre tournant s’effectue à partir des années 90 : « Les années 90 voient la création d’un grand nombre de films palestiniens, tournés par des cinéastes qui ont grandi sous l’occupation israélienne en Cisjordanie, à Gaza ou dans les camps de réfugiés, [comme Elia Suleiman] ». L’intifada, qui éclate en 2000, donnera, quant à elle, naissance à une nouvelle génération d’artistes et de cinéastes ; citons Maï Masri, Liana Badr, Subhi Zubeydi, Aza Al-Hassan, Annemarie Jacir.

 Bien qu’ils se différencient artistiquement des cinéastes de l’Unité, ces auteurs ne négligent pas pour autant l’histoire de leur pays et la nécessité pour toutes et tous de s’opposer frontalement au nettoyage ethnique des Palestiniens par l’Etat d’Israël, toujours en cours et soutenu par les puissances alignées à l’axe euro-atlantique comme la France, félicitée par les Etats-Unis comme on féliciterait son « domestique » (15)…

 L’occasion pour nous Français de méditer cette phrase du célèbre poète palestinien Darwich Mahmoud – car cela vaut pour tous les peuples : « je ne serai libre que le jour où ma patrie sera libre ! » (16)

Autour du cinéma palestinien

Ô mémoire, ma belle mémoire – La chasse aux fantômes de Raed Andoni (2017)

 « En Palestine tout le monde a des problèmes de mémoire […] [Les Palestiniens] ont une mémoire difficile à recouvrer. » Raed Andoni (17)

 Raed Andoni est un homme à tout faire : producteur, acteur et réalisateur, il occupe ces trois postes dans les trois films qu’il a réalisé. Après un petit documentaire, Andoni réalise Fix Me, sorti en 2009. Ce dernier explore l’esprit d’un réalisateur (interprété par Andoni), occupé « par Israël d’abord », et, dans un deuxième temps, « par la question palestinienne », pour reprendre les mots de Darwich Mahmoud (18).

 Car Raed Andoni cherche avant tout à se « découvrir ». Pour lui, la résistance, la défense de son pays doit être mise en relation avec l’affirmation de son « individualité » : « Libérer la terre mais avoir aussi notre propre individualité permettra de libérer la Palestine »(19). Quoi de plus compréhensible quand les noms des morts palestiniens deviennent des nombres incalculables ? Quoi de plus compréhensible quand on sait que 25% de la population palestinienne a déjà fait de la prison, et donc y a été battue, humiliée, voire pire (20) ? J’invite tout lecteur à lire un seul témoignage d’un palestinien ayant fait de la prison pour se faire une idée de l’horreur qu’on y vit (21). Rien à voir avec le discours occidental qui prétend que l’armée d’Israël est « la plus morale du monde » car elle prévient gentiment les populations avant de les bombarder. Qu’elle ne fait que se défendre contre l’attaque d’une organisation qu’elle a elle-même financée. Les dirigeants de l’impérialisme sont prêts à tout pour pallier à sa crise et à lutter pour « le monde libre », quitte à tuer et torturer des milliers et des milliers enfants, si c’est pour garantir la domination d’une poignée de milliardaires.

 Cette horreur, Raed Andoni l’a aussi vécue. Il a fait de la prison en 1985, dès ses 18 ans, et fut contraint, une fois libéré, à l’interdiction de quitter la Palestine durant 7 ans (22). C’est de là que lui vient l’inspiration de son troisième film, La chasse aux fantômes (2017). On suit plusieurs ouvriers (tous ne le sont pas), anciens prisonniers, qui reconstruisent la prison dans laquelle ils se trouvaient respectivement, à travers une mise en scène « mêlant documentaire et fiction ». En effet, les anciens prisonniers, sous les directives de Raed Andoni (qui est lui-même à la fois « acteur et réalisateur »), vont rejouer leur quotidien de prisonnier (torture, agression sexuelle, interrogatoire). Au premier coup d’oeil, j’ai pensé à The Act of Killing (2012) de Joshua Oppenheimer, qui fait rejouer quelques criminels de guerre animateurs (avec l’aide des Etats-Unis) du génocide indonésien de 1965, à l’origine anti-communiste. Ils nous montrent, pendant plus de 2h30, comment est-ce qu’ils assassinaient leurs victimes, le tout en souriant grassement. J’avais trouvé le film très malsain et vraiment bête. Mais La chasse aux fantômes ne convoque pas de bourreaux. Les victimes seules ont le droit à la parole (23). Raed Andoni leur laisse une grande part d’improvisation, même si la préparation du film a duré deux ans. Ce sont les ouvriers qui pilotent l’orientation du film. Ce sont eux qui répondent à la « question centrale » selon Raed Andoni, à savoir la question dialectique de la « relation entre l’identité individuelle et l’identité collective dans un pays en guerre, occupé » (24). A travers leurs histoires, toutes différentes mais communes en ce qu’elles ont toutes été marquées par la prison, ils bâtissent (ouvriers et palestiniens qu’ils sont) une mémoire commune centrée autour d’une oppression commune. Chacun apporte sa part à la construction de cette mémoire et de la prison, fouillant dans ses souvenirs avec l’aide de ceux des autres (25). Parfois, des scènes d’animations viennent symboliser le flou de la mémoire, l’irréalisme délirant de la situation des prisonniers. Par tous les moyens, Raed Andoni cherche constamment à reconstruire la mémoire parce qu’en Palestine, « le covid-19 c’est tout le temps » ; « à chaque changement on a une vie complètement différente ». Il ajoute : « la mémoire humaine est faite de telle sorte que lors d’événements traumatiques on a tendance à oublier certaines choses ; donc il faut s’imaginer ce que cela peut être en Palestine ».

 Il agit, de cette manière, de « faire réfléchir » non seulement les acteurs du film mais aussi les spectateurs, de les « préparer à des [futures] questions » relatives au passé. Pour Andoni, plus que le cinéma, c’est cela « l’importance de l’art » (26). On connaît le pouvoir du cinéma sur le public, notamment chez les populations ultra opprimées. Laure Fourest raconte, à propos de la projection de Five Minutes From Home (2008) de Nahed Awwad : « L’émotion dans la salle était palpable, tant les commentaires et exclamations fusaient, tant le public se reconnaissait individuellement et collectivement dans ce qui était projeté » (27). En « mêlant documentaire et fiction [et animation, devrait-il ajouter] », Andoni se saisit de plusieurs outils lui permettant de donner plus de textures, plus de force voir plus d’impression de réalité aux yeux des spectateurs (l’outil majeur étant, on s’en doute alors, le documentaire). C’est que la plupart des Palestiniens connaissent la prison (quand ce n’est pas par leur expérience personnelle, c’est bien souvent par celle d’un ou plusieurs proches). En voyant le film, ils assistent à leur propre réalité. Dure comme on ne peut l’imaginer, sa prise de conscience est, d’après Andoni, parfois occultée pour se préserver de la torture de souvenirs insupportables. Mais, toujours pour Andoni, cette expérience collective, où chacun a affaire à ses propres démons, ses propres fantômes, est indispensable pour aller de l’avant : « [Le film est] une métaphore de ces choses qui persistent dans le subconscient pendant des années, chez une personne qui a vécue une expérience traumatisante, comme la prison. C’est cela la métaphore du fantôme. » (28) C’est d’abord la recherche, la construction et le dialogue plutôt que la fin et la solution qu’Andoni s’ingénie à créer dans La chasse aux fantômes. Le film ne commence d’ailleurs pas au moment où la prison finit d’être construite, mais quand les travaux débutent (29).

 J’ai vu La chasse aux fantômes (2017) dans le cadre du festival annuel Palestine Cinema Days, créé par Filmlab (un laboratoire d’écriture palestinien) en 2014 et qui a pour but de « placer la Palestine sur la carte de l’industrie cinématographique internationale et du paysage cinématographique, en plus de promouvoir les films locaux et internationaux dans plusieurs lieux situés dans différentes villes de Palestine. » (30) La « placer sur la carte » pour continuer à affirmer son existence, menacée d’extinction depuis trop longtemps. La voie du cinéma pour porter cette parole fraternelle, patriotique et internationaliste. La voie du cinéma comme un refuge, mais aussi comme un combat contre des récits que les médias dominants nous imposent. Godard le disait : « le cinéma est un pays en soi, un pays en plus sur la carte du monde, un pays dont on ne s’exile jamais » (31). Pour ne pas le laisser se faire invisibiliser, coloniser ou détruire, il faut donc lutter.

 Enfin, voici, en supplément et en intégralité, le texte qui a été lu par le présentateur de La chasse aux fantômes à l’occasion de sa projection :

 « Réduits au silence depuis 1948, les récits de la Palestine aspirent à se faire entendre. 

 Les voix puissantes ne nous découragent pas, les informations manipulées ne nous influencent pas et les larmes feintes ne nous font pas frémir. Nous ne faiblirons pas, nous ne nous laisserons pas intimider et nous ne sommes pas seuls.

 Ne vous méprenez pas, un génocide n’est pas un conflit. Ne vous y trompez pas, il s’agit d’une occupation et d’un nettoyage ethnique par Israël. Ne vous y trompez pas, notre cause porte en elle un combat universel et humaniste: celui de l’égalité et de la justice.

 Les jours cinématographiques de Palestine (Palestine Cinema Days) qui n’ont pas pu se dérouler dans leur pays cette année, illumineront les écrans du monde entier afin de témoigner de l’union des citoyens du monde luttant contre l’oppression et le colonialisme.

 Nous exigeons un monde où les Palestiniens vivent en sécurité dans la dignité et non comme des victimes potentielles. A l’image de tout peuple colonisé, notre combat est celui de la vie, de la liberté, de la justice et de l’égalité auxquels tout homme ou femme a droit.

 Nous proclamons ensemble dans le monde entier : « Décolonisez et libérez la Palestine maintenant ». C’est ensemble que nous gagnerons. C’est ensemble que nous perdrons. »

Maxime-JRCF

Sources :

1.[url]https://www.initiative-communiste.fr/articles/international/14-mai-2018-jeunesse-palestinienne-et-70-ans-de-nakba-cisc/

2.[url]https://acta.zone/documents-du-cinema-militant-palestinien-a-propos-de-lunite-cinema-

du-fatah/

3. Houdassine, I. (2008). Cinéma palestinien : entre colère et reconnaissance.

Séquences,(255), 6–7.

4.https://www.lemonde.fr/culture/article/2020/09/29/david-dufresne-la-camera-c-est-l-arme-

des-desarmes_6053971_3246.html

5. Nahed Awwad cité par Laure Fourest in Laure Fourest, « Un cinéma palestinien « en mal

d’archive » », Ateliers d’anthropologie [En ligne], 36 | 2012, mis en ligne le 14 mai 2012,

consulté le 12 novembre 2023. URL : http://journals.openedition.org/ateliers/9053 ; DOI :

https://doi.org/10.4000/ateliers.9053

6. DREYER, Sylvain. (2013). Révolutions ! – Textes et films engagés : Cuba, Vietnam,

Palestine.

7.[url]https://www.lesinrocks.com/cinema/jean-luc-godard-cest-notre-musique-cest-notre-

adn-cest-nous-81800-05-05-2004/

8. “En 1982, en envahissant le Liban, l’armée israélienne confisque toute cette production

cinématographique.” in [url] : https://www.zerodeconduite.net/article/le-cinema-toujours-

beaucoup-joue-dans-la-sensibilisation-au-conflit-israelo-palestinien

9. “De manière générale, les Territoires palestiniens occupés bénéficient d’une infrastructure

dédiée au cinéma particulièrement fragile, à l’image du nombre restreint de salles de cinéma

dotées d’une programmation régulière.” in SLITINE , M., & SCHWARZINGER, C. (2020). Le

« cinéma d’auteur » de Palestine : expérimentations, circulations, émancipations. Regards –

Revue Des Arts Du Spectacle, (24), 35-52. Consulté à l’adresse

https://journals.usj.edu.lb/regards/article/view/482

10. [url]https://acta.zone/documents-du-cinema-militant-palestinien-a-propos-de-lunite-

cinema-du-fatah/. Op cit.

11. Le groupe Ukamau : http://jrcf.over-blog.org/2023/10/le-groupe-ukamau.html

Retour sur Terre en transe de Glauber Rocha : http://jrcf.over-blog.org/2023/09/retour-sur-

terre-en-transe-de-glauber-rocha.html

12.[url]https://www.zerodeconduite.net/article/le-cinema-toujours-beaucoup-joue-dans-la-

sensibilisation-au-conflit-israelo-palestinien. Op cit.

13.[url]https://www.monde-diplomatique.fr/2001/02/BIBAS/1869

14.[url]https://www.evaneos.fr/palestine/voyage/informations-pratiques/12712-litterature-et-

cinema/

15. Dixit Deleuze. in Dosse, F. (2009). Les engagements politiques de Gilles Deleuze. Cités,

40, 21-37. https://doi.org/10.3917/cite.040.0021

16. Darwich Mahmoud. Je ne serai libre que le jour où ma patrie sera libre !. In: Horizons

Maghrébins – Le droit à la mémoire, N°57, 2007. Créations palestiniennes. pp. 12-18;

17. Rencontre avec Raed Andoni à la cinémathèque de toulouse : [url]

18. Darwich Mahmoud. Je ne serai libre que le jour où ma patrie sera libre !. In: Horizons

Maghrébins – Le droit à la mémoire, N°57, 2007. Créations palestiniennes. pp. 12-18;

Op cit.

19. Cinéma – Portrait – Raed Andoni – Fix Me : [url] https://www.youtube.com/watch?v=h1ZV-

ac7weU

20. “25% de la population palestinienne est passée par la prison et personne ne le sait”

in Rencontre avec Raed Andoni et Manon Shick :

[url]https://www.youtube.com/watch?v=T_bG5TC1jAE

21. Deux articles sur Le Grand soir : [url] https://www.legrandsoir.info/a-la-prison-de-gilboa-

en-israel-si-un-detenu-avait-le-malheur-de-bouger-tout-le-monde-etait-battu.html et [url]

https://www.legrandsoir.info/israel-a-13-ans-ils-lui-ont-pisse-dessus-l-ont-torture-et-

condamne-a-huit-mois-de-prison.html

22. Rencontre avec Raed Andoni à la cinémathèque de toulouse : [url]

https://www.youtube.com/watch?v=rGDMc7TlmNY. Op cit.

23. Et à un psy, le temps du tournage. Ibid.

24. [url] https://www.flp.ps/Programs/cinema-culture/palestine-cinema-days

25. “Les prisonniers, comme ils arrivaient en prison cagoulés, ne savaient pas vraiment à

quoi ressemblait la prison dans laquelle ils étaient”. On les a laissé développer “leurs

propres fantasmes”. in Rencontre avec Raed Andoni et Manon Shick :

[url]https://www.youtube.com/watch?v=T_bG5TC1jAE. Op cit.

26.Cinéma – Portrait – Raed Andoni – Fix Me : [url] https://www.youtube.com/watch?v=h1ZV-

ac7weU Op cit.

27. Laure Fourest, « Un cinéma palestinien « en mal d’archive » », Ateliers d’anthropologie

[En ligne], 36 | 2012, mis en ligne le 14 mai 2012, consulté le 12 novembre 2023. URL :

http://journals.openedition.org/ateliers/9053 ; DOI : https://doi.org/10.4000/ateliers.9053 Op

cit.

28. Raed Andoni: ‘The Israelis occupy our minds’ [url]

29. Nous devons ce trait d’esprit au présentateur de la Cinémathèque de Toulouse.

Rencontre avec Raed Andoni à la cinémathèque de toulouse : [url]

https://www.youtube.com/watch?v=rGDMc7TlmNY. Op cit.

30. [url] https://www.flp.ps/Programs/cinema-culture/palestine-cinema-days

31. Grugeau, G. (2005). Compte rendu de [Israéliens, Palestiniens : que peut le cinéma?,

Janine Halbreich-Euvrard, Paris, Éditions Michalon, 2005]. 24 images, (123), 37–39.

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