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Communiqué du PRCF et de la JRCF – 10 juin...
Communiqué du Secrétariat national du PRCF et de...
Cette nouvelle déclaration officielle du PCF ne nous surprend pas, même si nous remarquons quand même une évolution toujours plus guerrière et atlantiste des déclarations du P « C » F PGE, le secrétariat national du PRCF avait déjà dénoncé cette (nouvelle) trahison du P « C » F PGE lors du vote des crédits de guerre à l’Ukraine en décembre 2022 : « Le P« C »F, lui, via ses députés, a franchi le pas de l’euro-collaboration militariste et social-impérialiste sans retenue, applaudissant même la résolution adoptée en présence de l’ambassadeur d’Ukraine.
Le collectif international a traduit le discours du camarade Tommy Cavanaugh, militant au Workers World Party (une organisation marxiste-léniniste étatsunienne avec laquelle nous entretenons des liens) et syndicaliste à McDonald’s à Rockford dans l’Illinois. Ce discours, qui date certes de 2014, est toujours d’une actualité brûlante, notamment en France où les jeunes représentent une grande partie des travailleurs de la restauration rapide.
Parmi les événements importants et marquants de la nouvelle montée du fascisme en Europe (à partir des années 2010), on ne peut oublier le massacre d’Odessa du 2 Mai 2014 en Ukraine, et qui a été perpétré par des milices fascistes ukrainiennes à l’encontre de militants syndicalistes, communistes et antifascistes opposés à l’Euromaïdan. Nous allons donc à l’occasion des 10 ans de ce crime de guerre barbare revenir sur les événements de ce jour et le contexte qui les ont produits, intimement liés à la guerre actuelle.
Macron, Scholz, Tusk et von der Leyen, non content de préparer la jeunesse d’Europe à s’engager plus directement en Ukraine euro-nationaliste contre la Fédération de Russie, rêvent également de dissoudre les Etats nations, trop susceptibles de faire prévaloir leurs souverainetés nationales à la « souveraineté européenne », à l’occasion des élections du 9 juin qui permettront à l’UE-OTAN de légitimer leur « saut fédéral européen ». Il faut bien en mesurer la gravité : les parlements nationaux seront appelés à valider a posteriori, dans le dos des peuples, la mise en place d’un Etat fédéral européen reléguant les nations actuelles aux rôles subalternes de Landers allemands ou d’un Etat fédéré nord-américain ; en bref, à devenir, sans aucun débat démocratique, de simples provinces de « l’Empire européen ».
Après le Mali et le Burkina Faso, après le Niger, le Sénégal vient de donner un grand coup de barre prometteur dans la direction de l’émancipation nationale et, espérons-le, de l’émancipation sociale des travailleurs africains.
Sachant que les autorités africaines renversées n’étaient « démocratiques » qu’en façade et que ces démocraties d’apparat cachaient mal la mainmise conjointe des bourgeoisies africaines compradores et des monopoles capitalistes de l’ex-métropole, du type Total, Véolia ou Bolloré, sans parler des contrats léonins imposés par l’Union européenne (par exemple en matière de pêcheries), la question est moins de savoir si les changements survenus en Afrique se sont opérés par les urnes et à l’issue d’un grand mouvement populaire, comme c’est le cas au Sénégal, ou si des officiers patriotes liés à la jeunesse populaire ont dû prendre l’initiative d’éjecter les potentats corrompus et discrédités.
La Nouvelle Calédonie, ça n’a échappé à personne, a été secouée d’émeutes ces derniers temps. Sans rentrer dans les détails, nous allons utiliser la situation catastrophique en Kanaky (le nom décidé par les kanaks pour désigner leur île) pour illustrer les mécanismes essentiels, invisibles à l’œil nu, de la colonisation, dont elle est un cas d’école.
A l’heure des magouilles électorales, on serait tenté de croire que parce qu’on n’a pas le droit de vote, on n’a pas voix au chapitre. C’est sans compter sur la force de la mobilisation collective !
Depuis plusieurs mois, les étudiants se battent courageusement contre la politique des autorités françaises et de leurs médias de soutien à l’interminable génocide des Palestiniens. Que ce soit par les tractages, par les manifestations pour la paix, par le boycott des entreprises partenaires, par le relai de la vérité via les réseaux sociaux ou à leurs proches, ou par l’occupation héroïque de leurs universités et facultés partenaires du régime de théocratie fasciste israélien, les étudiants de France ont montré leur courage et leur détermination dans la lutte pour la paix et l’humanité.
Cela n’étonnera personne… La guerre profite aux industriels de l’armement, ainsi qu’à un certain nombre d’acteurs capitalistes que telle ou telle sanction économique, contre un pays et ses firmes concurrentes, peut rapidement projeter en tête de la course mondiale à l’exploitation capitaliste.
La question de la paix, pour nous, jeunes communistes, n’est pas une question secondaire. C’est une question de vie ou de mort, comme l’est la question de la misère, de la fin du mois. Il est tout naturel qu’il en soit de même pour tout jeune syndicaliste sérieux, qui défend avec honneur sa famille et ses camarades.
Membre du Parti communiste portugais, il est nommé à la tête du quotidien Diario de Noticias en 1974, avant d’en être renvoyé un an plus tard. C’est surtout à partir des années 80 qu’il commencera à acquérir sa stature d’artiste comptant dans le paysage culturel, notamment avec Le dieu manchot (1982). Ce qui ne l’empêchera pas de connaître des pressions, son livre sur Jésus Christ (nommé L’Evangile selon Jésus Christ) ayant fait l’objet de censure pour offense à la religion, le poids du catholicisme étant encore présent au Portugal. Il choisira la voie de l’exil dans les années 90.
Pour ceux qui ne connaissent pas Kalash Criminel, c’est un rappeur cagoulé adepte de trap très lourde, sur thème de menace de passage à tabac et de mise à mort, qui saupoudre ses orgies de violence par des punchlines anti-racistes, anti-impérialistes, et même féministes. Ses sons font régulièrement gloser la bourgeoise, on se souvient de la tentative de censure de “cougar gang” par Brigitte Macron. Pour les plus fainéants, tout son style est condensé dans “Euphorie”.
C’est bientôt le 9 juin et son scrutin européiste foireux. Si vous êtes un lecteur régulier du site JRCF, vous connaissez sans doute nos nombreuses critiques de l’Union européenne, en particulier ses aspects antisociaux, son travail de destruction de l’industrie, mais aussi sa volonté toujours plus assumée de mener à terme la casse de la nation (et des nations) via le prochain saut fédéral européen. Cependant le rôle délétère de l’UE se fait sentir dans d’autres recoins insoupçonnés. C’est le cas du sujet qui va nous intéresser : le sport, et plus particulièrement l’arrêt Bosman de 1995.
Vous connaissez la fable de l’”Europe sociale et solidaire”, clamée haut et fort par les sujets-de-pendules thuriféraires et les pères et mères du mythe de la bienfaisance bourgeoise sur Terre, qui expliquent à longueur de journée sur les plateaux tv que le peuple d’en bas n’a raison que lorsqu’il se tait ou bien qu’il légitime les instances bourgeoises (en votant pour le scrutin du 9 juin par exemple). Ces derniers temps, on la retrouve notamment chez Arte (Association Relative à la Télévision Européenne), chaîne sinophobe et russophobe s’il en est, anticommuniste dans l’âme, qui propose avec son journal “une approche européenne et culturelle de l’actualité”, autrement dit une approche pro UE-OTAN, qui si elle n’est pas exempt de contradictions se veut claire et nette dans les moments clefs .
Le 7 mai, une polémique a éclaté en Pologne suite à la diffusion par le musicien polonais Jan Pospieszalski d’un extrait de l’une des représentante de l’Ukraine à l’Eurovision. Le problème n’était pas la chanson mais le t-shirt, où était inscrit : BANDERACIAGA.
Je suis Léon Landini, ancien officier FTP-MOI du bataillon Carmagnole-Liberté, Grand Mutilé de guerre à la suite des tortures endurées à l’âge de 18 ans sur l’ordre de Klaus Barbie, Médaille de la Résistance, Officier de la Légion d’honneur, décoré par l’Union soviétique pour faits de Résistance.
Ce mois de mars à avril a vu se propager un mode d’action politique sur le terrain de la lutte contre le génocide des Palestiniens, une méthode rarement employée bien que connue et très souvent fantasmée par nous tous : l’interpellation directe des responsables politiques lors de leurs sorties publiques. Non pas avec les mains, ce serait trop beau (sauf si c’est pour crier « Montjoie Saint-Denis »), mais plutôt par les insultes.
Forte de se prétendre adepte et défenseure de l’histoire de France, l’extrême-droite et la famille historique réactionnaire en général, qui n’ont eu de cesse de trahir la nation quel que soit son stade de développement, des féodaux privilégiés aux versaillais anti-communards, des émigrés de Coblenz à Pétain, continuent par abandon de la gauche à s’arroger le droit de s’approprier Jeanne « d’Arc ».
Ce texte de Georgi Dimitrov, extrait de son célèbre rapport au 7e Congrès de l’Internationale Communiste, aborde les tâche des jeunes communistes face à la montée du fascisme et de la guerre. 90 ans après sa publication, ce texte conserve, dans notre période troublée, toute son actualité.
En cette année de 300ème anniversaire de la naissance d’Immanuel Kant (1724), et alors qu’un « conflit global de haute intensité » in fine possiblement nucléaire se dessine de la Baltique à la Péninsule coréenne en passant par le Donbass, le Proche-Orient, Taiwan, la Mer de Chine et la Péninsule coréenne, rien ne peut mieux honorer la mémoire du puissant penseur républicain qu’était Kant que d’inviter les philosophes, les diplomates, les juristes, les militants de la paix et les penseurs de la chose militaire, à lire ou à relire le Projet de paix perpétuelle (Zum ewigen Frieden) que Kant écrivit en 1795.